dimanche 8 mai 2011

La mathématique de la vie


Je vois vraiment ma vie comme le paradoxe du mécanisme du cœur ou plus généralement de la nature. Du peux que je soit informé et suivant les différents échos de vulgarisation de la science j’ai appris que l’ensemble des ses fonctionnements apparaissent comme quasi parfait : tout ses mécanismes, comme celui du cœur, relèvent d’une ingéniosité et d’une utilité sans pareil. C’est tellement surprenant que l’on en vient à douter du hasard de l’évolution. On viendrais même à penser qu’ils sont un fait divin crée par une supériorité inconnus et cela même pour les plus grands scientifiques. Et pourtant, malgré tout, par des contingences presque qualifiables de diaboliques, la nature est souvent défectueuse sans aucune raison sérieusement valable. La maladresse du bien c’est quand les bonnes intentions deviennent de mauvaises conséquences ou quand l’on en sauve un pour en sauver mille. La nature n’a pas d’idéal, elle n’a que des faits. Donc, l’homme se doit d’avoir du courage, c’est sont seul échappatoire.


J’en viens alors à la conception de ma vie. Je suis nés en 1990, en France, on n’avait alors réussi à parvenir à une système de société qui assuré le bien être minimum de tout les individus (ou presque) cela permis par des moyens démocratiques respectant les droits de l’homme et ou chacun serait récompenser de ses efforts individuels par une situation encore plus favorable. On avait donc abolit les malhonnêtetés de la nature et sont effroyable injustice pour faire régner un temps de bonheur jamais jusque là atteint dans l’histoire de l’humanité. C’était la fin de l’animalité et l’ère de la civilisation était poussée à son paroxysme. Le règne du progrès contre celui de la simplicité de la nature. Avide de bonheur l’on ne pouvait plus s’arrêter de vouloir toujours plus et toujours mieux. Et encore une fois, alors que des hommes et des femmes sont morts pour un tel système et d’autres encore, par une incroyable intelligence, ont fais avancer l’humanité vers son pas le plus triomphant ; et alors l’on comprend seulement aujourd’hui que ce monde n’est pas parfait voir même coupable de crimes atroces. Et quand bien même celui ci toucherais la perfection, l’on en viendrais a douté de sa légitimité. L’infernale nature contre l’effroyable perfection.

Voilà, je suis nés dans ses années là, et pourtant je ne suis pas certains d’être plus heureux. Je suis le fruit de cette époque qui m’apporte beaucoup de plaisir mais qui me rends confus. Mon sentiment de culpabilité est croissant fasse à mon manque de reconnaissance et mon laisser-aller sur le dos de ceux qui agissent pour me permettre de vivre de façon indécente. Dans cette illusion de perfection, mon sens d’utilité et d’existence en devient tellement insignifiant que je me perds dans les étranges abimes de la nullité et de l’absence de relativité. Je ne suis pas le seul, j’en connais d’autres, j’en vois beaucoup d’autres, ne plus savoir quel sens donné, n’ont pas seulement à leurs propres vies mais bien plus, quel sens donner aux mouvements de l’univers, d’un point de vue scientifique, philosophique et spirituelle. Ces âmes perdus qui ne croit plus en l’autorité de la religion ou en les fausses vérités de la science. Qui doutent des réponses toute faites et qui posent des questions à vos réponses. Ce n’est pas une génération plus sereines qui nait, au contraire, c’est une masse d’individus insaisissable qui ne croient plus en rien. Une armée de pions produits en série prête à tout sans concessions car sans aucun repère ou plutôt avec tellement de repères qu’ils en deviennent insaisissables. Ils sont sur informé, sur qualifié et sur éduqué et pratiquent maladroitement l’esprit de critique qui les amené à ne plus se reconnaitre dans aucune des valeurs fondatrices garantes de l’ordre humain. La religion ment, et l’Etat est corrompus. Sans avoir eut le temps d’en construire de nouveaux repères ils avancent yeux bandés portant le poids des erreurs de leurs ancêtres. Notre société Photoshop ne donne plus le droit à l’erreur car un monde parfait n’accepte pas les divergences. L’on a construit une seule « pensée plurielle ». Les actes de courages et les grands hommes se sont rares car les convictions se doivent d’aller de pairs avec les conséquences des actes et alors plus personne n’agit de peur des réactions en chaine et des dommages collatéraux. Notre monde est figé dans une canette de coca cola vide. Bien pire : certains pensent qu’après avoir crée cette cannette, comme l’histoire de Frankenstein, elle serait devenus folle en prenant le contrôle du monde. Elle serait devenus une sorte d’entité suprême qui évoluerait sans que l’on plus aucune emprise sur elle. On peut l’appelée : L’Internet amis de L’Economie et frère du Gouvernement. Tels des dieux grecs ils nous contrôlerais par des pouvoirs surnaturels. Les populations en deviennent de plus en plus mystique et des nouvelles conceptions d’apocalypse voient le jours : La Terre (fille de L’Economie) se réveillerais pour nous punir de nos pêchers et se délivrais de l’homme en nous exterminant par des catastrophes naturelles.


Ne vous indignez pas tout de suite, car ici je tient à préciser que il n’y a aucune bonnes raisons mais que des mauvais sentiments. Je précise : je ne n’essais pas de justifier l’injustifiable, je n’essais pas non plus de donner des jugements car en soit l’on a aucune bonne raisons de se comporter et de penser ainsi. Je parle simplement de ressentis. Et souvent l’on a beau savoir que ce n’est pas bien de penser cela mais on ne peut s’en empêcher. Notre débilité est assurément croissante mais pas encore complète. Mon raisonnement essaye de retracer l’incompréhensible ligne entre les causes et les effets. Je n’accuse pas Dieu, ni le progrès, je n’accuse pas non plus les autres et leurs stupides théories apocalyptiques, mais je remet en cause essentiel de nos valeurs et de nos actions. Je me permets de tirer une sonnette d’alarme sur un futur obscur si l’on cède à cette absurdité.


Mais par non renoncement l’on peut facilement admettre que chaque époque à ses maux intrinsèques car chaque génération ont eut ses bons et ses mauvais cotés. La majorité des individus essayent de faire de leurs mieux. L’on perd pour gagner et l’on gagne pour perdre. La vie ne peut plus être une fatalité mais un choix. Alors je m’en remet à moi et à vous, je nous fais confiance, pour que l’on construise n’ont pas un monde parfait sans aucune lacunes, ce qui serait absolument terrifiant, mais plus simplement : un monde plus vrais. Il nous faut accepter la part de maladresse du bien sans jamais cesser de s’indigner chaque jours contre elle. Être vrais n’existe pas, mais il n’y a rien de plus vrais que d’être.

mardi 27 avril 2010

Rebels, Hate and War, Amour et Paix


Paris Hilton en tenus de punk.


Pete doherty et la fameuse cigarette "je suis trop cool, je m'en fou, oh yeah!"

Ange ou Démon ?
Rebelle ou pute ?
Qui est qui ?
Haine et guerre ou Paix et Amour ?

Voila, "un jour viendras" comme on dit, ce jour c'est aujourd'hui. Le jour ou il fallait me justifier, tenter de construire une argumentation solide au temps et aux gens contre vents et ragots. Dur, dur de justifier ses idées, surtout quand elles ne tiennent qu'a un fil.

Mais Guy Clarks, arme à la tête, est un grand réfractaire des vérités établis. Mais il n'est surtout pas question de tout remettre en cause au mon d'une vérité qui m'appartiendrais qu'à lui seul et contre tous. Non, Guy est un homme de bien, plein de morale, il sait que toutes les idées ne sont pas défendables et que le meilleur moyen de les tester c'est d'en parler.

De toute façon, ce sujet reste, à certain égards, assez frivole. Cependant, je pense sincèrement que ce sujet en dit long sur notre société désenchanté. Oulala.

Je me lance : il me parait flagrant que Paris Hilton est une punk, pute d'argent tandis que Pete Doherty un sauf punk argenté, non ? Ici, loin de moi l'idée de m'attaquer à ses deux stars, non, non, parce que comme vous pouvez en douter je ne les connais pas. Ici, je m'en prends sévèrement à leurs personnages publics, à ce qu'ils représentent. Désolé pour leurs personnes mais leurs images les surpassent.

Pete Doherty ment, il ment mal, le soit-disant je m'en foutiste plein de vin qui chante du rock and roll n'existe plus au 21éme siécle, ou presque mais alors c'est pas lui. Le tout sent le mauvais le marketing Virgin, l'illusion Universal, et j'en passe des meilleurs. Pour vendre des compac-disc, être un bon musicien ne compte qu'en second, ce qu'il faut c'est gérer son personnage, crée une image. Par malchance, je reconnait que par certains aspects notre amis Pete est un bon musicien. De plus, les médias l'ont largement aidés à crée son image "trop cool, il est saoul".

J'appelle ça du "marketing punk version 2000", une sorte de pseudo antihéros du marketing : "l'hopital qui se fout de la charité", "le serpent qui se mors la queue". Parce que il le sait, son staff le sait, que si les médias le prennent en photo défoncé au bras d'une Top model avec une slim noir abimé, son image choque, Boom c'est le buzz, Bim les CD se vendent. Les jeunes adolescent croient alors qu'ils sont rebelles, qu'ils défient le méchant système et toutes ses conventions. Mais c'est tristement juste que le système est bien plus malin qu'eux, ils les écoute pour mieux les baiser. Bon, Je vous accorde que c'est un portrait terrifiant d'un monde qui s'uniformise même dans la rébellion, c'est la face cachée, le revers de la médiale, dans ta face connard.

Et Paris Hilton ? Elle m'apparait alors totalement décalée, remplie d'un je m'en foutisme totalement abouti et assumé. Elle ne croit qu'à une chose, comme une drogue pour un toxico : l'argent. Le vrais, le beau, le flamboyant et en son nom elle serait prête à tout, sans remords. Ne rien faire, insulter, montrer ses seins, cracher sur un paparazi,boire, faire un porno, écrire un livre ou même faire une chanson. Yahou. Son marketing de pute riche elle l'assume tellement bien face à toutes ses critiques (justifiées) que s'en devient rebelle. C'est une rebelle, car elle vous regarde dans les yeux et vous fait bien comprendre la chose suivante, " tu vois, moi, je fais ce que je veux, je t'emmerde, je prends mes sous et je t'emmerde encore une fois". C'est une rébellion immorale et stupide mais une rébellion pure, sans scrupule, qui vous clou le bec avec votre Banjo et vos idéaux. Effrayant.

Au final, Pete est un faux rebelle, aux allures de rebelle. Vous savez un peu comme tout les gars qui par dessus tout aiment la forme sans se soucier du fond. Comme un hippie, alors qu'il vous raconte "qu'il faudrait que tout le monde s'aiment pour rendre le monde meilleur" se tourne voit un passant et il vous lance, sans aucune hésitation, un " regarde ce connard en costard, vraiment tous des capitalistes corrompus qu'ils faudrait enfermer!". Le tout vraiment sur de lui. Vous comprenez alors que son discours est tellement contradictoire qu'il n'a plus de sens. Il est alors concevable, pour être de nous jour rebelle, de lancer dans cette situation, un "haine et guerre, c'est trop cool", avec bien sur dérision. Hahaha.

Ben, Pete c'est tout pareil, il a beau se donner tant de mal pour paraitre rebelle, on l'a grillé c'est faux, un pale marketing pour adolescents, un braquage d'argent de poche.
Tandis, que la petite Paris, qui présente une forme totalement consensuelle, un style de vie de bourgeois capitaliste qui respecté les lois, mais qui est en fait un véritable démon rebelle. Un contre coup de la forme, qui cache à y regarder de plus prés, un fond complétement décalé et taré.

J'en conviendrais avec vous, par une belle leçon de morale, bien sur que Paris est une méchante fille qui ne sert à rien à la société. Mais si un instant, vous prends une pensée cohérente, avoué quand même que le Pete n'en est pas plus indispensable. Et Puis Guy aime les vrais rebelles, parce que qu'ils servent beaucoup à la société, d'abords parce qu'il apporte quelque chose de nouveau, d'intéressant et d'original. Faisant alors avancer les choses.

" ALLEZ VOUS FAIRE ENCULE BANDE DE SALE FILS DE PUTES" Guy Clarks, faux rebelle agrée et convaincu.

samedi 27 mars 2010

1992 YEARS







1992


Le point commun de ses images? Elles ont toutes un raport avec 1992. Plus ou moins différent.

Pour comprendre le pourquoi du comment voici quelques videos d'introduction:

1/Mike Caroll/Questionable Plan B : http://http//www.youtube.com/watch?v=miXKizmfHaY&feature=related

2/Comme le sons est désactivé avec le part de mike, on peut l'écouter avec le morceau suivant : Modd Depp/Shook ones part II : http://http//www.youtube.com/watch?v=cP0wsET8__Y

3/Toto Cutugno/Insieme: http://http//www.youtube.com/watch?v=G8256ETqf1E

La question est pourquoi 1992?
Qu'est-ce qu'il y a bien pu se passer en 1992 pour citer cette année en particulier?

Je vais vous dire pourquoi, écoutez bien : D'abors parce que c'était les JO d'Albertville, sisi, et accesoirement aussi ceux de Barcelone. C'est aussi l'année ou un certains Toto Cutugno a sortis son single pour participer à l'Eurovision avec le titre "insieme". Enfin bref comme tout les ans, ils c'est passé tout plein de choses importantes en 1992.

Je voulais aussi vous parlez de 1992 pour une toute autre raison. Pour moi cette date sonne bien. Elle répresente bien les année 90. Années que j'ai vécu dans mon landau : je connais rien et j'en parle pour rien. Qu'importe j'aurais quand meme aimé avoir 15 ans dans ses années. La preuve : Modd depp sort Infamous en 1992, c'est pas une bonne raison ça? HIPHOP! ou encore la Questionable de Plan B sort en 1992 et participe à la révolution du street en skate quand le switch était de rigueur meme déguelasse(terme technique).

De toute façon 1992 à la classe. C'est les années d'or du hip hop et du skateboard. Et me dite pas que vous n'étes pas nostalgique. De toute façon la mode vous y oblige et meme sans savoir : les pantalons trop court, les 5panels, les air max, les doudounes... Le "street wear" pue 1992.

La différence c'est que les gars en 1992 ils rigolaient pas, ils étaient sincére meme quand ils se la racontaient tandis que nous... Enfin, en sage, je veux finir sur un message d'espoir : rendont hommage à ses années là parce que c'était trop coooool. Ils ont inventé, au meme titre que le rock'n'roll dans les année 60/70, une culture de la rue des grandes villes. oauisssssssss
En tout cas, il est sur que les années 90 ont marqué le monde au fer rouge de la culture américaine. On comprends alors notre terrible addiction à 1992.

Alors mes t'es air max, t'as 5panel, ton North Face, ton freshjive, ton WuTang...
et vas faire une soirée burger king avec tes potes ou tout seul parce que tu t'en fou, t'es dans le "saint esprit".

*A notée que je parle au non de personne, je suis un personne fictif bordel de merde!!!! et Guy Clarks reste trés classique alors il a du recul.